Ces entreprises qui travaillent pour nous : OLFA

Qui dit OLFA dit cutter rotatif chez les quilteuses ! Chez les bricoleurs, on vante depuis les années 70 les avantages des cutters à lames sécables (« snap-off » blades), toujours des OLFA… Avez-vous un moment ? Alors, je vais vous raconter une belle histoire, une success story peut-être un peu romancée mais bien réelle…

On peut difficilement imaginer l’état du Japon après la seconde guerre mondiale. Humiliation, dévastation… Il fallait se retrousser les manches pour reconstruire le pays et ce peuple fier et volontaire a brillamment relevé le défi !

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Aujourd’hui nous allons à Osaka, au sud-ouest de Tokyo, à environ 330 km à l’est d’Hiroshima, ville martyre.

A Osaka, comme dans tant d’autres villes, on a subi d’effroyables raids aériens avec environ 10 000 victimes civiles en 1945.

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Cependant, vous savez ce que c’est, parfois il y a de belles histoires dans la noirceur. Ici, un  jeune adolescent se vit offrir une barre de chocolat simplement craquée d’une tablette par un soldat américain. Saveur inconnue dans la nourriture japonaise traditionnelle ; le jeune Yoshio apprécia-t-il ? En tout cas il retint la facilité de coupe en carrés, sans instrument, de cette matière pourtant bien dure.

Avant la guerre, le père de Yoshio était imprimeur ; connaissant ce milieu, le jeune adulte dans les années 50 se fit embaucher dans la même branche, coupant des papiers à longueur de journée à l’aide de lames de rasoir. Ces lames ont 4 pointes, elles s’émoussent vite. Yoshio cherche d’abord à améliorer la lame à l’aide d’un manche… puis se souvient des carrés de chocolat, tout en ayant remarqué les capacités de coupe du verre cassé. Il réunit ces deux caractéristiques et après de très nombreux essais, voici sa première invention :

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Premier cutter à lame sécable, inventé par Yoshio Okada en 1956.

Son frère et lui essaient de vendre cette idée révolutionnaire… mais aucune société ne veut mettre un yen dans cette fabrication ! Avec toutes ses économies, Yoshio en fabrique 3000 unités, ils se vendent peu à peu car ils coupent si bien ! Mais ils sont faits artisanalement, aucun n’est semblable. Il faut normaliser !

whyolfa02L’ergonomie étant aussi importante que l’efficacité, Yoshio a recherché des galets de rivière, en a testé des centaines pour trouver celui qui tient le mieux en main, a déterminé ensuite le meilleur angle de coupe, le meilleur alliage pour la fabrication des lames… Toutes les normes actuelles (les lames de 9 mm et de 18 mm, la couleur jaune d’or pour le distinguer dans la boîte à outils tandis que tous les outils d’alors étaient de couleurs sombres) viennent de Yoshio Okada et de ses recherches s’étalant sur 10 ans.

La société se nomma d’abord OKADA & Co,  puis suite à des désaccords avec des investisseurs et ses frères, cela devint OLFA en 1969. Ol-ha signifie « couper une lame » en japonais, mais le h à la japonaise ne se trouve pas dans toutes les langues… Alors va pour Ol-Fa ! C’est en 1971 que les cutters commencent leur percée dans le marché américain puis mondial. Les Japonais qui ont alors la réputation d’être surtout des copieurs dans le monde industriel imposent ici leurs normes !

Aujourd’hui, Olfa est synomyne de coupe performante dans tous les milieux, dans les mains des ouvriers, des artisans et artistes, des bricoleurs du dimanche… Le cutter est vraiment pratique et sûr. 

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Les outils OLFA sont reconnus dans le domaine de la coupe dans le monde entier.

En 1979, le succès et la fortune sont là, mais Monsieur Okada garde toujours alerte son esprit d’inventeur-entrepreneur. Un soir, il regardait une émission de TV et vit une couturière coupant un tissu fin (en soie ?) le long d’un patron de papier avec d’énormes ciseaux, complètement disproportionnés et peu adéquats. Il tourne et retourne ce problème dans sa tête toute la nuit, et invente en quelques jours LA solution :

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Ce petit objet coupant ne révolutionnera pas le monde de la confection… mais celui du patchwork ! Je vous raconterai prochainement comment, tout en vous présentant une autre société.

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Yoshio Okada (1931 – 1990)

Au fil du temps, les brevets tombent dans le domaine public, permettant à la concurrence de réaliser les mêmes objets, avec les mêmes normes. Stanley (USA) est « l’autre » grande marque de cutters à lames sécables. Si vous essayez des sous-marques, vous regrettez vite la qualité des meilleurs outils, je vous le garantis ! Quant aux cutters rotatifs, vous connaissez les marques concurrentes qui fleurissent un peu partout. Certains sont aussi bien, d’autres nettement moins. A vous de faire vos essais et vos choix !

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Gammes des CR de forme basique : 60 mm de diamètre pour d’épaisses couches de tissus, 45 mm l’universel, 28 mm pour des courbes et 18 mm pour les coupes les plus fines et courbes (photo Rascol)

Il existe une forme ergonomique, à lame qui rentre automatiquement dans la protection. Ce CR (cutter rotatif) est très bien mais ne me convient pas car je change souvent de main pour couper et il faudrait que je monte et démonte la lame à chaque fois pour avoir la lame du bon côté ! Mais je suis un cas bien particulier…

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L’ergonomique et le sécurisé ! (photo Rascol)

En 2007, il y a eu des cutters « hors série » décoratifs :

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J’ai la grande chance d’avoir l’orange, offert par mes élèves de 2007 ! Je continue de l’utiliser, tout autant que le jaune de base.

Parfois c’est pour participer à une cause :

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Un CR rose pour la recherche contre le cancer du sein.

Les tout nouveaux se nomment Splash ! Un bain de fraîcheur avec cette couleur turquoise, et plus nouvellement encore en violet. Le manche est plus souple (comme les Clover) et le changement de lame se fait aussi facilement que l’ouverture / fermeture de la lame : plus de vis ni de ressort ! Elle est pas belle la vie ?

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Pour finir, en voici un pour couper des cercles parfaits :

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Il s’utilise comme un compas. Je me souviens de Brigitte qui avait coupé des centaines de cercles pour faire des macarons avec les enfants de CM1, cadeaux de la Fête des Mères ! Heureusement, elle a cet instrument magique avec lequel on coupe plusieurs épaisseurs en une fois…

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OLFA a dignement fêté les 35 ans du cutter rotatif en 2014 aux Etats-Unis, marquant 35 ans de révolution du patchwork ! C’est Kathy du Montana qui a été mandatée pour organiser la fabrication d’un quilt collectif que voici :

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Voyez des détails de ce quilt par ici !

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Personnellement, j’ai acheté mon premier cutter rotatif en 1990 à Paris, au Rouvray,  alors que je vivais en Allemagne. La gentille dame qui m’a conseillé (Will Vidinic !!) m’a recommandé la grande règle de 60 cm et le tapis de coupe. Bien sûr, qu’aurais-je fait avec le trio incomplet ? J’utilise encore ce cutter quotidiennement (oui !) avec un usage plutôt intensif : toujours jeune à 26 ans !

Les lames OLFA sont plus chères que d’autres, car elles sont de meilleure qualité (en titane). Cependant, je fais une entorse à ma recherche constante de qualité des outils, préférant acheter mes lames un peu moins cher et les changer un peu plus souvent…

Et vous, quel est votre rapport avec votre cutter ? 

41 commentaires sur « Ces entreprises qui travaillent pour nous : OLFA »

  1. Je me rappelle encore demander a une vendeuse qu’elle pouvais bien être l’utilité d’un cuter rotatif vu que j’avais des ciseaux de couture! Haha! J’ai maintenant le « Splash » bleu clair et j’adore!!!! Je ne pourrais pas faire sans. J’ai tout d’abord acheté des 18mm par souci d’économie mais j’ai vite compris que la qualité avait un prix et mieux vaut acheter de bons outils.

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    1. Les cutters ont révolutionné le patchwork, sans lui il ne serait pas devenu le loisir mondial qu’il est devenu. Les petits 18 mm sont bien pour suivre le contour de gabarits courbes, mais on a une bien meilleure prise avec le 45 mm ! Moi aussi, je viens de me faire plaisir en m’offrant un splash bleu, pour en avoir un dans chaque trousse de couture !

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  2. merci pour ce reportage
    j’ai débuté le patch en 2007 et sur les conseils du Mercier (à Nantes) j’ai acheté l’olfa 45 mm. j »ai changé la lame une seule fois et encore à cause d’une épingle qui s’est trouvée malencontreusement sous la lame!!!!
    bon dimanche

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    1. Une épingle, c’est une lame à changer ! Une bonne lame peut durer des années, moi j’en fait une utilisation déraisonnable, je dois en changer souvent… et rien ne m’énerve plus qu’une lame qui saute juste un fil à couper à intervalles réguliers !

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  3. Merci pour cet article !
    Je vais je crois investir aussi dans du bon matériel !
    Quel plaisir d’avoir découvert votre blog coopératif
    Cordialement

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  4. comme toi ,en 1995 j’ai acheté au Rouvray le trio , la règle de 60 cm, le cuter et la planche. Ils me servent toujours, mais la planche a bien vieillie et j’en ai une nouvelle..Du bon matériel pour de bons résultats!!!!!! bon dimanche et merci pour tes excellents articles.

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    1. Ma première planche n’a pas survécu au déménagement en Hamburg et Toulouse en plein été… Je l’ai retrouvée toute gondolée ! Depuis j’ai une grande sur la table et plusieurs petites planches.

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  5. J’ai mis longtemps à l’utiliser, mais maintenant, je ne me sers que de ça pour couper. Par contre, je ne connaissais pas le compas cuter, et je n’en ai jamais vu. Je vais essayer de le trouver.

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  6. Mon 1er cutter rotatif (acheté en 94 et qui fonctionne toujours) d’une marque peu connue (Kaicut) avait une particularité dont tu ne parles pas ici. Nul besoin d’activer la protection de la lame avant et après utilisation: c’est en l’utilisant, en appuyant que la lame coupe; inactive, elle ne présente aucun danger. J’ai beaucoup apprécié cet avantage, même si maintenant j’utilise davantage un cutter Olfa dont la lame est plus grande et aussi le tout petit pour les courbes.
    Merci pour l’histoire de la découverte de notre compagnon de chaque jour.

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  7. Bonjour, je me régale toujours autant avec tes articles. Ils sont tellement riches et intéressants!!!Je les transmets vite à mes copines patcheuses.
    Merci et bon dimanche.
    Amicalement

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  8. J’en ai un dans chaque maison ainsi que règles et planches de coupe. J’ai toujours mon premier cutter rotatif acheté sûrement en 1987 quand j’ai commencé. Le deuxième est l’ergonomique et comme je suis une vraie droitière, je l’apprécie. J’achète les lames par boite de dix. Si ça t’intéresse, je demande à mon mari là où il les commande. Je lâcherai peut-être un jour mes règles, c’est pas gagné…mes cutters rotatifs, ça m’étonnerait! Pratique aussi pour couper les papiers cadeaux, les pantalons à raccourcir… Merci pour tes articles sur tous ces fabricants. Bon dimanche.

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    1. On peut en trouver dans plusieurs magasins effectivement par paquets de 10, merci de le signaler !
      Et moi aussi, quand un de mes cutters a une lame vieillissante, je l’utilise pour beaucoup d’autres coupes. C’est si pratique !
      Attention au molleton, certains ont tendance à émousser la lame… et les ciseaux aussi ! Il faut en réserver à cet usage, ou les lames en fin de vie.

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    2. Bonjour,
      J’aimerai savoir où il est possible d’acheter des lames par paquets de 10. Je suppose que le prix est plus intéressant et il est toujours possible de partager le paquet avec les amies
      Merci d’avance.
      Marianne.

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  9. Après avoir lu votre article, je suis allée voir mon CR …. Oh surprise, il est orange, de marque « DAFA », une sous-marque chinoise jouant sur le nom pour se faire passer pour la marque originelle. La vis centrale se défait en permanence, c’est du très bas de gamme (payé peu cher) mais comme je n’en fais pas un usage très intensif, ça passe. Mais votre article m’a donné envie de m’offrir le Splash un de ces jours car moi aussi je le vaux bien !
    En passant, je me permets de faire un peu de pub auprès de vos lectrices pour un film tout en délicatesse que j’ai adoré et qui se déroule au Japon : Les délices de Tokyo.
    Bon, je vais continuer à rattraper mon retard en ce qui concerne vos articles, merci encore et bon dimanche !

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    1. Merci de signaler les délices de Tokyo, je suis curieuse !
      Je connais le DAFA, beaucoup de débutantes arrivent avec ce cutter. Malheureusement cela ne les met pas dans les meilleures conditions pour bien apprendre. Quand je leur fais essayer le mien, elles comprennent de suite la différence de qualité… Il n’y a pas que les OLFA qui sont bien, mais je les recommande car je les connais… et ce sont les inventeurs de cette merveille !
      Alors parce que tu le vaux bien, bon achat de Splash !

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  10. Bravo pour cet article! (on s’est peut-être croisées au Rouvray en 1990 alors…)
    Personnellement, je n’utilise pas souvent mon cutter (hum hum, pas très moderne la fille!) mais cutter, planche et règle de coupe sont génialement révolutionnaires et indispensables à qui veut faire du patch machine ;o)))

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  11. Un immense bravo à ce monsieur ! C’est vrai que le cutter rotatif est absolument indispensable quand on se met au patchwork… On l’utilise tout le temps ! Pour ma part, les miens sont d’une autre marque, japonaise aussi…
    Par contre je ne connaissais pas le cutter compas ! C’est brillant, et je crois qu’il va falloir que je regarde ça de près … 😉
    Merci pour ton reportage, c’est passionnant.
    Bon dimanche

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  12. Le mien date de 1991 quand j’ai attrapé le virus du patch
    J’en ai plusieurs, dont un avec les lames recyclées pour le papier, le carton…le plastique.
    Au départ ils servaient parfois les poseurs de moquette le long des murs …je n’ai pas essayé !
    Avec une lime à ongle émeri , côté fin on peut arriver à prolonger une lame.
    Si la planche dessous est trop usée par l’usage la lame ne peut pas faire des miracles.
    Une règle d’or : prendre impérativement l’habitude de la fermer dès qu’on la pose.
    La marquer à votre nom : elles se ressemblent toutes !

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  13. Merci pour tes articles que je lis toujours avec attention mais que je ne commente pas souvent et qui me font découvrir tous les détails des outils et origine de notre occupation préférée , j’ignorai aussi l’origine du cutter moi aussi en débutant le patch en 2001 j’ai tout de suite investi dans la planche le cutter et la règle au cours de ma première visite dans un salon à la Sucrière à Lyon depuis je n’utilise que les cutters pour découper avec ou sans règle le petit est super pour les petites pièces ou les courbes et le rotatif me permet de faire des cercles parfaits je pense que je vais investir dans le Spash .
    Bon dimanche
    Marijo

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  14. J’ai découvert l’utilisation du CR sur une base us à l’étranger…. et là j’ai pensé : mais je faisais comment avant ? 😆
    J’ai donc acheté mon premier Olfa en 2008 puis j’ai découvert en 2011 les Martelli, une révélation ! Je ne travaille plus qu’avec ça!
    Mais le rose de ton article me plaît bien et ce serait une bonne action !

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  15. Je vis une histoire d’amour avec mon cutter « Olfa  » depuis 25 ans. J’avais commencé avec une petite lame, mais suis vite passée à la 45 mm. J’en ai acheté deux autres depuis, mais finalement, je prends toujours, toujours le premier. Et je gare tout cet attirail dans un lieu interdit quand les petits-enfants passent par là, car bien sûr, dans l’atelier de mamie, tout est bon à tester, expérience faire sans dégâts heureusement.

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  16. D’abord merci pour ce reportage, d’ailleurs je l’ai transféré à un ami qui aime tout ce qui est outils, il fait de merveilleux oiseaux à partir d’outils, un don
    J’ai un CR Prym (comme celui qui est sur la dernière photo (rascol) j’ai un souci avec, quand j’appuie la lame rentre (???) pourtant on a bien regardé si c’était bien fixé mais. Après mon 1er date de ???? c’est une marque inconnue je pense : Dafa-cutter (j’ai pas regardé sur internet.
    Je vais essayer de trouver un Olfa
    Bon dimanche

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    1. Le PRYM est un OLFA distribué en France, pendant quelques années les deux marques étaient apposées sur le cutter. Si c’est l’ergonomique, c’est normal qu’il se rétracte quand on le pose mais la lame sort pour couper quand on appuie. Il ne faut pas qu’il fasse l’inverse !!
      Le DAFA est un premier prix, il coupe mais n’est pas agréable à tenir en main et ne dure pas aussi longtemps.

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  17. Un nouveau très grand merci pour ce reportage .;j’ai souvent entendu dire que ce cutter rotatif était un « détournement » de la roulette à pizzas !
    D’accord avec toi Katell, j’achète aussi des lames  » bon marché » et je préfère les changer souvent car ….. la lame sur une épingle, cela ne pardonne pas !!
    Quant à ma planche de coupe … pas plus tard que cette semaine ….. mon cutter a carrément traversé toutes les épaisseurs … devenues très très fines ….les ans en sont la cause … elle va avoir bientôt 30 ans !!!
    On trouve maintenant de planches de coupe à tous les prix …. qui ne remplaceront jamais les « OLFA » comportant, sur la tranche, 3 épaisseurs avec la partie centrale jaune !!
    .. mais Katell qu’attends tu pour un reportage sur ce sujet ?

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  18. Super article… comme toujours ! un vrai plaisir de te lire ! c’est vraiment instructif !!!
    pour ma part je les ai tous… y compris celui pour couper des ronds qui est FORMIDABLE !!! au passage… petite astuce… pour les cours, je marque les miens avec du vernis à ongle et mes initiales…

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  19. On découvre toujours quelque chose quand on passe ici… Moi aussi, depuis le début, mes CR ne me quittent pas et je suis moins à l’aise avec des ciseaux. Je suis gauchère mais contrairement à toi, je ne peux me servir que de la main gauche et donc impossible de me servir de ceux des copines quand la lames est de l’autre côté;
    Les nouvelles couleurs sont bien belles…Je regarderai à Sitgés peut être pour me faire un petit cadeau…

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  20. Interesting article! I didn’t know that rotary cutters and OLFA originated in Japan. We all rely on our cutters constantly. It is a tool, almost like a fork, that I use over and over again, and don’t even think about the wonders of its invention. Thank you!

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  21. Superbe article ….je sais grâce à tous les commentaires ce que je dois prendre …gain de temps et économies . Je suis une adepte du niwaki , taille traditionnelle des arbres et arbustes et l’observation est identique : japonais , ergonomique, titane …..et beau …beau parce qu’utile. L’essentiel. Ces outils vieillissent très bien ….ils sont programmés pour être durables .

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