ST – Visite à l’imprimerie Escourbiac

Écrire un livre n’est qu’une partie du travail. Celle de l’édition en est une autre, tout aussi cruciale. La solution la plus sécurisante pour un résultat de qualité et une diffusion de l’ouvrage fini est la signature avec un éditeur. C’était le cas avec France Patchwork pour BeeBook, cela devait l’être aussi avec Quiltmania pour mon deuxième livre.
L’alternative est l’autoédition. Une aventure à bien mûrir, avant de s’y lancer !

Pour mettre en forme mon livre, j’ai fait appel à une graphiste free lance avec qui je me suis très bien entendue, Alexandrine de Jardin d’Hiver. Et pour l’impression, j’ai choisi l’imprimerie Escourbiac, dans le Tarn. Être accueilli par des citronniers, des oliviers et des lavandes, c’est bien rare pour des ateliers techniques… Ah la douceur de vivre au cœur de l’Occitanie !

« Mon » imprimerie : le bâtiment historique est le blanc, c’est là que l’imposante machine d’impression offset (offset : qui est imprimé par l’intermédiaire d’une plaque) est installée. Le bâtiment noir est tout récent, extrêmement agréable, avec les bureaux modernes et, liant ces deux bâtiments, de multiples ateliers spécialisés permettent de coller aux désirs des clients les plus exigeants.

Une imprimerie se choisit en fonction de multiples critères. Bien sûr, les devis entrent en compte. Le moins cher serait de contacter des imprimeurs XXL à l’étranger. J’ai choisi le sérieux, la qualité, l’accueil qui font qu’on se sent guidé, compris… et il se trouve que j’ai pu avoir tout cela à proximité !

Escourbiac est une des mille entreprises françaises à bénéficier de ce label, symbole de savoir-faire de haute performance dans les métiers d’art

Les labels obtenus montrent l’implication de l’imprimerie pour un travail respectueux de l’environnement, avec des papiers venant de forêts contrôlées, des encres organiques, une gestion exemplaire des déchets, et en bonus une électricité solaire avec leurs panneaux sur le toit…

Vous appréciez sûrement la qualité des revues Les Nouvelles de France Patchwork : elles sont imprimées elles aussi chez Escourbiac, tout comme le magazine PHOTO par exemple. Mais le cœur de leur travail, ce sont les livres d’art. Leur exigence est renommée, ils ont reçu de nombreuses récompenses.

En salle d’attente, on peut feuilleter divers livres d’art, tous créés à quelques mètres ! J’ai particulièrement admiré un livre sur les rénovations de la cathédrale Ste Cécile d’Albi, écrit par un historien, Jean-Louis Biget (décédé en mars dernier), et photographié par Michel Escourbiac, le fondateur de cette entreprise. La saga familiale est d’ailleurs passionnante !

Et l’impression de mon livre ?… J’ai passé une journée à l’imprimerie, afin de satisfaire ma curiosité d’une part, et aussi valider la colorimétrie de la couverture d’abord, puis chaque première sortie de feuille recto-verso qui représente 16 pages du livre, et signer le Bon à Rouler.

Dès mon arrivée, beaucoup avait déjà été préparé, avec ce que la graphiste leur avait envoyé. J’avais des tirages de photos à apprécier, la couverture qui paraît immense avec les rabats, et il y avait un mini-livre tout mignon, référence de l’ordre des cahiers qui forment l’intérieur du livre. Le mien, 176 pages, comprend 11 cahiers de 16 pages. Et, surprise, un cahier est imprimé sur une immense feuille de 64 x 90 cm !

C’est ici qu’on se tourne vers l’immense machine offset. Combien de mètres de long ? Je l’ignore ! C’est une technologie sophistiquée, menée par un seul opérateur, Jean-Michel le matin, Gaétan l’après-midi. La machine d’offset est gérée par un poste numérique, mais toujours l’œil humain fait la différence : le moindre détail suspect est vérifié à la loupe ! Ce sont des orfèvres, et ils sont vraiment très accueillants et à l’écoute. Ils aiment leur métier, cela se voit !

Cette machine comporte 2 fois 4 postes d’impression, le tout pour la même feuille. On a dans l’ordre le poste pour le Noir, puis le Cyan, puis le Magenta, et enfin le Jaune. Oui, c’est de la quadrichromie, mais malgré tout, l’absence de blanc m’interpelle ! En fait, si on a un papier noir, on peut mettre du pigment blanc sur la chaîne. On peut aussi ajouter une teinte particulière, comme du doré ou autre, m’explique-t-on. Il faut vraiment une maîtrise extrême pour tout faire à partir de ces couleurs primaires…
Un détail parmi tant d’autres : les peintures sont brassées pour garder l’homogénéité.

Et surprise, je vois des plaques d’aluminium avec, en dessin bleu pâle incomplet, des parties de mon livre : ce sont les plaques d’impression, préparées à partir du PDF : une plaque par couleur et par page de cahier. Je suis éblouie par cette technique !

Ici en attente, la plaque pour imprimer le bleu au recto du 7e cahier

Les postes de couleurs sont doublés car, au milieu, la feuille de papier est retournée pour être imprimée au verso, sur la seconde série de postes noir-cyan-magenta-jaune avec une nouvelle série de plaques d’alu bien sûr. Ces plaques sont chères et fragiles, la moindre rayure se verra sur le papier. C’est Kodak qui les fournit, et en cercle vertueux de recyclage, les récupère pour en refaire des neuves.

Pendant la pause de midi, on ne peut rêver de cadre plus idyllique !

Chaque personne rencontrée dans cette entreprise est à la fois gentille et compétente, je les en remercie ici. Une mention toute particulière pour Oliver Gaudefroy, expert Conseil Client, mon référent dès le premier appel téléphonique. Il a su répondre avec patience à toutes mes questions, mes angoisses existentielles… Une semaine après avoir choisi la pellicule de la couverture, j’avais tellement peur de m’être trompée que j’en avais fait des cauchemars !! Il a su me rassurer… Prendre toutes les décisions, c’est une charge mentale, mais avec Alexandrine la merveilleuse graphiste, avec qui j’ai travaillé intensément pendant un mois, puis avec Olivier, j’ai le sentiment d’avoir réussi tout ce qui fait que le livre sera beau ! Ensuite, le contenu est entièrement de ma responsabilité.

Apres cette journée, une dizaine de jours sont nécessaires pour le façonnage (découpe des feuilles, pliage en cahiers, couture, collage, mise en cartons) avant l’expédition… chez moi ! Plusieurs centaines de livres, c’est lourd et cela prend de la place. Je suis prête !

Pour finir, c’est le petit monde du patchwork qui m’aidera à distribuer et vendre Sacrés Tissus, merci à toutes pour cette chaîne de solidarité ! Tous les renseignements sont réunis sur la page Sacrés Tissus !

À bientôt,
Katell

45 commentaires sur « ST – Visite à l’imprimerie Escourbiac »

  1. quelle aventure passionnante ! Le plus gros semble bouclé, maintenant croisons les doigts pour la suite Bises.

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    1. Le bébé est en de bonnes mains, ensuite il faudra assurer la diffusion. C’est en effet une très belle aventure, malgré tout ! Et je bénéficie du soutien des amies du patchwork pour sa diffusion dès la rentrée. Cela fait tellement plaisir !
      Passe un très bel été ma chère Renée !

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      1. Bonjour Katell,

        Nous sommes aussi et plus encore impatientes de découvrir ton 2e bb après beebook.

        L’info parcours la France!

        Merci à toi pour tes reportages qui nous enrichissent et nous font tant de bien.

        Bel été.

        Catherine

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        1. Bonjour Catherine, merci pour ton enthousiasme ! Nous avons besoin les unes des autres pour continuer à faire vivre le monde des arts textiles en France. La vie serait trop triste sans notre communauté de quilteuses !

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  2. Quelle aventure et quel magnifique récit!!!

    Ton nouveau bébé est très attendu et, je n’en doute pas, sera bien accueilli.

    J’espère juste que tu as prévu assez d’exemplaires pour tout le monde!!

    bises

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    1. Toi, relieuse d’art professionnelle, tu aurais aimé la visite ! ils ont toute la technologie moderne, mais gardent les gestes précis des artisans et l’exigence de la qualité. Chaque poste de travail est soutenu par des machines adéquates, tout en gardant la prépondérance humaine. Un bel équilibre !

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  3. Je suis tellement impatiente de le découvrir !! Merci pour ce bel article… ça donnerait presque envie d’écrire un livre ;))

    A très bientôt

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    1. J’espère que cela suscitera des vocations ! Dans le domaine du patchwork, Eyrolles semble vouloir développer son offre de livres de patchwork moderne et créatif, et ce n’est sans doute pas la seule. Et bien sûr, la voie où on s’occupe de tout n’est pas facile, mais c’est très intéressant !

      Tu seras parmi les toutes premières à découvrir le livre imprimés, merci pour ta participation aux quilts qui y sont présentés ! Je t’embrasse

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  4. Alexandrine et Escourbiac… cela me rappelle l’aventure FP!

    Je sais que tu as fait le bon choix avec une graphiste d’exception et une imprimerie exemplaire et, de surcroît, locale pour toi.

    Je n’ai pas encore fait le relais de l’annonce de sortie de ton 2e bébé mais j’y pense.

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    1. Je n’y ai pas pensé tout de suite… et puis début juin cette solution s’est imposée à moi, surtout quand Alexandrine m’a dit qu’elle pouvait s’y mettre tout de suite… et son prochain créneau de libre aurait été septembre ou octobre ! L’expérience BeeBook m’a évidemment beaucoup aidée…

      En ce qui concerne le relais de l’annonce, je te remercie ! Tu pourras mentionner le magasin de Christine que tu connais bien et qui les vendra !

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  5. encore un bel article qui nous fait découvrir la face cachée de l’édition. C’est passionnant! Merci de faire vivre et exister les talents locaux et nationaux. Les savoir-faire se perdent vite si n’y prend pas garde. J’ai hâte de découvrir ton nouveau livre 😊

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    1. Merci beaucoup David. Il existe encore des entreprises qui misent sur la qualité, des entreprises souvent familiales comme ici, et je suis très heureuse de mettre un coup de projecteur sur cette maison.

      J’espère que Sacrés Tissus te plaira ! Je sais que tu préfères la minutie des ouvrages parfaits, mais tu es ouvert à tout ce qui touche notre monde textile. Et bien sûr, je parle d’Histoire du patchwork, des États-Unis…

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      1. bien plus que la perfection d’un ouvrage, je crois que ce qui me touche le plus ce sont les quilteurs/ quilteuses derrière chaque ouvrage et processus de création 😉

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    1. Tu as si longtemps été en contact avec eux… la fidélité de FP envers cette graphiste et cet imprimeur garantit la réussite des Nouvelles !
      Je te souhaite un très bel été Edith 💙

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  6. J’adore ton article et tes yeux brillants devant ton futur livre et l’imprimerie. J’ai vendu du papier pendant les 10 dernières années de ma vie professionnelle…. à des imprimeurs bien sûr.

    J’ai eu l’occasion d’en visiter quelques unes avec mes vendeurs. J’ai appris le fonctionnement à ce moment là mais cela a beaucoup évoluer depuis que je suis à la retraite.

    J’ai adoré cette période de ma vie professionnelle.

    Je n’ai pas de doute sur le fait que ton livre va se vendre « comme des petits pains » mais… en as-tu prévu assez ?

    Je sais, pour te connaitre, que la réponse est positive.

    Merci pour ce bel article.

    A bientôt. Dany

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    1. Je ne connaissais pas tes relations particulières avec le monde du papier ! Cela te fait un point commun de plus avec Anne, notre relieuse d’art ! Quant à moi, j’ai travaillé quelques mois à la Dépêche du Midi (stage puis remplacement à la Rédaction en Chef) et j’avais été très impressionnée par ce qu’on appelait la Cathédrale, un immense hangar avec l’empilement d’énormes ballots de papier sur des mètres de haut…
      Comme tu me connais, tu as raison, j’ai prévu beaucoup d’exemplaires ! Avec mon mari, on a évalué jusqu’où on pouvait aller dans cet investissement, en se basant sur le succès de BeeBook il y a 5 ans.
      De toute façon, c’est une belle aventure que nous avons menée tout d’abord avec les amies de la Ruche, dans le plus grand secret, pour faire la bonne vingtaine de quilts nouveaux !
      A bientôt Dany, merci pour ton soutien !

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  7. Bonjour Katell,

    Ça y est j’ai commandé mon exemplaire au Fil d’Emma !!! comme cela je suis tranquille et je compte bien que vous me le dédicaciez au cours d’un salon prochain, vous m’avez dit que vous ne seriez pas à Sainte Marie aux Mines alors je serai ravie de vous rencontrer « en vrai ». Vous avez un blog tellement riche en savoirs, rencontres et entrées qu’il me faudra des mois voire plus afin de l’explorer et ce qui ne gâte rien, écrit dans un français impeccable. Quel bonheur de lire des articles sans faute d’orthographe !!! Merci de nous avoir expliqué votre démarche quant à l’impression de votre livre qui est vertueuse et intéressante, je ne connaissais rien au processus d’impression.

    Encore bravo et j’ai hâte de recevoir ce livre…

    Claude CATHERIN

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      1. Au salon de Toulouse, mais oui j’en serais enchantée… Alors bon été Katell et plein de bonnes choses.

        Claude

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    1. C’est un milieu très spécialisé, c’est passionnant ! Bien sûr, il arrive qu’on se dise que, parfois, on gâche du papier en imprimant des bêtises, mais c’est l’essence de la conservation et de l’avancée des idées !

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  8. je vais faire un peu de pub autour de moi à Douarnenez mais la mercerie a fermé au printemps … quel dommage, la mercière aurait certainement pris quelques livres …
    peut être à Leclerc Culture et la librairie de l’angle rouge …

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    1. Merci beaucoup Marie-Anne ! Je sais que ce n’est pas la porte à côté, mais il y aura des livres à Lorient, chez Alice. Je ne contacte pas encore les libraires généralistes, d’abord les magasins de patchwork qui me le demandent; Ensuite j’élargirai peut-être…

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  9. Merci Katell de nous partager en photos et en couleurs le chemin pour arriver à la parution de ce livre prometteur. Vivement le 20 août. Dona

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    1. Oh c’est très sympa, merci Dona !
      Je n’ai jamais vu plus qu’un écrivain près d’une grosse machine, sur Instagram, assistant fièrement à la création en papier de son livre. J’ai été gâtée par Olivier et les conducteurs de la machine offset, qui ont répondu avec patience à mes questions. Alors j’ai eu l’idée de partager, mon blog est là pour ça !

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  10. Tu as toujours l’art de rendre n’importe quel sujet passionnant Katell. Cette visite de l’imprimerie était très intéressante, et nous montre que pour réussir un beau livre, il y a beaucoup de travail en amont. Que dirait Gutenberg en voyant toutes ces machines et l’évolution de l’imprimerie jusqu’à nos jours ?
    Bonne fin de semaine à toi.

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    1. Je ne parle que de ce-ceux-celles qui m’intéressent, à partir de là c’est facile !

      Tu vois, j’ai aussi pensé à Gutenberg… Je lis en ce moment un roman où on évoque des volumen (en papyrus), des codex (en parchemin, de la peau d’animal), l’arrivée du papier en Europe, et on va bien arriver à l’évocation de Gutenberg !! C’est un polar atypique, Le dernier Hyver de Fabrice Papillon. Pour le moment, l’intrigue me tient en haleine !
      Dans un coin, Escourbiac a une machine à l’ancienne, avec les petites lettres de plomb à disposer… on a envie de jouer avec !
      Bonne fin de semaine, avec la chaleur qui va être très présente !

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      1. Je retiens le titre du livre que tu es entrain de lire. Il va manquer au stock déjà accumulé dans ma bibliothèque et qui se renouvelle constamment !!!

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  11. Coucou Katell
    Encore un article très intéressant!!
    Je n’ose même pas imaginer le nombre de questions qui peuvent se poser dans une telle situation! De quoi passer des nuits agitées!Mais te connaissant un peu je pense qu’il te faut ce genre d’adrénaline pour ton équilibre! Quelle énergie !!! Je suis admirative! Et bien sûr je réserve un exemplaire! (dédicacé à Toulouse YES!!!)
    En attendant passe un bel été! Très sincèrement!!

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  12. Comme je serai à Labastide Rouairoux le 17 je vais demander aux copines si elles veulent ton livre ainsi elles pourront l’avoir en  » primeur ».

    A Bientôt

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  13. Merci Katell pour ce beau reportage, agréable à lire et très instructif comme toujours. Auto éditer ton livre, c’est un sacré défi que tu t’es lancé et que tu as relevé haut la main! Bravo!

    Je suis allée voir Horizon au cinéma (j’adore les westerns et je suis nostalgique de La dernière Séance…) et encore une fois dans un film de Kevin Costner, j’ai pu apercevoir de nombreux quilts. Je me demande si une dame de son entourage ne l’a pas sensibilisé à l’art de l’aiguille.

    Et je note le titre de ta lecture du moment, Le dernier Hyver.

    Bel été à toi et à tes proches.

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    1. Il faut que j’aille voir ce film !
      Le dernier Hyver : je l’ai fini, il est ambitieux, violent, complexe, intelligent, féministe, bref très impressionnant ! L’auteur sait mêler science, histoire, philosophie, ésotérisme, arts et psychologie dans un polar… bref un mélange qui pourrait être indigeste, mais qui m’a enchantée !

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  14. Très en retard pour te laisser un petit commentaire sur ce très intéressant article. Je connais moi aussi cette expérience car j’ai publié un livre avec une amie aquarelliste et grâce au conseil de France Patchwork nous avons fait appel à l’imprimerie Escourbiac. Très professionnel, très à l’écoute (car pour notre livre nous étions très attentives aux couleurs) et voir les planches du livre sortir c’est vraiment une expérience extraordinaire. Je recommande cette entreprise très régulièrement.

    Belle journée

    Pascale 31

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  15. Très en retard pour te laisser un petit commentaire sur ton article très intéressant. Je connais moi aussi cette sensation de découvrir l’impression de son livre. Grâce au conseil de France Patchwork, j’ai fait appel à l’imprimerie Escourbiac pour l’impression d’un livre réalisé avec une amie aquarelliste. Nous avons assisté à la sortie des premières planches du livre. Cette imprimerie est très à l’écoute et très professionnelle (nous avions nous aussi des exigences en matière de couleurs) Je la recommande assez souvent.

    Merci pour ce partage et à bientôt. Belle journée

    Pascale 31

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  16. Une balade passionnante et très intéressante dans un monde que l’on ne connaît pas forcément. La France a encore de beaux artisans. Merci

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    1. C’était une découverte pour moi aussi ! Il faut absolument favoriser tous nos merveilleux artisans, ils ont du goût, de l’expertise, et font vivre l’économie de notre pays. Cela ne se fera pas sans nous.

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