Coucou, les Stars des Pine-cone Quilts !

Que d’avancées dans la connaissance des pine-cone quilts en une décennie ! Je souviens du quilt fait par LeeAnn, puis son mail me présentant Betty, notre apprivoisement mutuel… Du temps a passé depuis mon premier article présentant Betty ! Nous sommes devenues sœurs de cœur et j’admire tellement le chemin qu’elle a parcouru ! Ce que j’aime aussi, c’est comme toujours la possibilité de partir d’une technique traditionnelle pour la faire évoluer, c’est le domaine de Rachael Daisy, une superbe quilteuse inventive et si sympathique elle aussi.

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Le rêve de Betty devenu réalité

Septembre arrive, avec la reprise des activités ! Les quilts-météo 2023 montreront une grande disparité de températures entre le Nord et le Sud cet été, des fraîcheurs étonnantes et des canicules accablantes… Pour commencer cette saison de rentrée avec joie et énergie, focus sur Betty Ford-Smith, mon amie de Floride, que je connais depuis 2014. Son livre sur les Pine Cone Quilts est déjà un succès commercial aux États-Unis et il sort ces jours-ci en Europe !

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Four-patch chez Cheryl

Bientôt, je vous montrerai mon Château de Sable terminé. J’attends pour la photo d’être au bord de la mer, en espérant un rayon de soleil ! Puisque les Leaders & Enders vous intéressent, voici un quilt simple et fascinant de la Canadienne Cheryl Arkison, qui a nécessité BEAUCOUP plus de patience que le mien… Merci infiniment à Bonnie Hunter d’avoir mis en place cette technique !

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Diabolical Jane : c’est à vous !

Vous me l’avez tant demandé, ce modèle en français ! Et puis le blog hébergeant les explications en anglais a carrément disparu. Comme j’avais correspondu avec Jessie Aller à propos de la diffusion de son modèle en français, avec le lien vers son blog, et qu’elle en était ravie, je crois bien que je peux à présent vous expliquer ce modèle, à ma façon, avec les schémas de Jessie que j’avais sauvegardés. N’hésitez pas à personnaliser votre quilt, sans perdre l’esprit Diabolical Jane !

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Dans le Nebraska

Aux États-Unis ont été créés plusieurs musées consacrés à l’art du patchwork et arts textiles. Notre amie Betty est récemment allée dans le splendide International Quilt Museum de Lincoln, dans le Nebraska. Elle a passé des moments exceptionnels dans ce lieu, et nous en fait part avec de nombreuses photos !

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Field of Joy

Dans la Ruche des Quilteuses, nous aimons choisir des thèmes, pour avancer dans la création sans nous lasser. Ce que nous faisons ensemble est toujours très accessible. Nous sommes loin d’être des candidates aux concours, puisque la simplicité est notre touche favorite. Et dès que j’ai connu le thème central du Carrefour Européen du Patchwork pour septembre 2023, je me suis dit : voilà une de nos orientations pour cette année !

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Avec Cosabeth

Avec Cosabeth, c’est une belle histoire d’amitié depuis quelques années. C’était une personne que j’admirais éperdument sans la connaître, à qui je rêvais de ressembler quand j’avais 20 ans, comme une fan peut s’enticher d’une star. La connaître bien plus tard en vrai fut une grande émotion, et la confirmation que, lorsqu’on suit son cœur, on ne se trompe pas. Oui, Cosabeth mérite entièrement mon admiration !

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J’aime faire découvrir le patchwork improvisé

De toute évidence, le patchwork improvisé prend sa source dans les habitudes utilitaires d’antan, lorsque les quilts se faisaient avec ce qu’on avait, sans autre aide que la forme des chutes de tissus disponibles, ou un schéma facile et librement interprété. Les quilts de ce style datent la plupart du temps du XXe siècle, car les plus anciens sont tombés en poussière… Avec nos cutters, nos beaux tissus, nos machines à coudre sophistiquées, nous sommes bien loin de l’esprit pionnier ou de survie, et nous admirons la faculté qu’elles avaient de se débrouiller avec ce qu’elles avaient… et bien souvent, les résultats nous inspirent car ils sont magiquement beaux ! Je n’oublie pas que c’est la regrettée Gwen Marston qui nous avait montré la voie…

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Lone Star Quilt, un quilt très traditionnel

Nous avons toutes déjà vu des quilts avec une grande étoile centrale, faite de dizaines de losanges.

Les Amish ont fait et font toujours des Lone Star quilts.

J’en ai fait un il y a une quinzaine d’années, en tissus de Noël. Il a gardé quelques petites taches, la projection d’une bougie rouge soufflée trop fort (grr les colorants…) mais il reste un incontournable dans le salon à la fin décembre.

A la découverte de Lindlee

J’ai beau en avoir vu des centaines sur les magazines et sur écran d’ordi, bien moins en vrai, j’ai été touchée par les Lone Star Quilts faits par Lindlee. C’est une jeune femme qui a grandi dans une réserve indienne au Nord-Est du Montana. Au cours de l’histoire et des traités non tenus (rappelez-vous les quilts de Gina Adams transcrivant ces traités fourbes), des arrivants d’origine européenne avaient le droit de s’installer sur un lopin de terre pour le mettre en valeur. S’ils tenaient leur promesse, la terre leur appartenait au bout de 5 ans. C’est ainsi que les ascendants de Lindlee s’installèrent et restèrent dans cette somptueuse nature. Lindlee a grandi dans une ferme-ranch, tout près de la frontière canadienne, dans la plus grande simplicité.

La ravissante Lindlee, avec sa veste faite dans un quilt ancien… Un Lone Star évidemment ! La mode amorcée en 2020 et montrée ici ne faiblit pas, bien au contraire !

Lindlee a toujours vu ces quilts aux Lone Stars dans son environnement. Les femmes amérindiennes de la Réserve avaient, au tournant du XXe siècle, appris ce modèle par les femmes presbytériennes (= de religion protestante) et ces quilts cousus à la main ont alors remplacé les peaux de bisons. Plus tard, ces quilts font toujours partie du paysage et sont, par exemple, les lots de tombola ou les récompenses de matchs sportifs.

A l’issue de fêtes locales chez les Natifs (Amérindiens), ou comme ici de compétitions de basket ball au lycée de Poplar, il n’est pas rare que plusieurs quilts soient offerts aux entraîneurs, aux meilleurs sportifs, aux profs… Jamais, un quilt n’est refait à l’identique !

Le Montana est un État rural du Nord-Ouest des États-Unis, qui borde la frontière canadienne. Vous en avez certainement vu ses somptueux paysages dans des westerns, mais aussi dans le magnifique film L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux (1998) :

Avec son mari, son enfant et son chien, Lindlee Smith a emménagé plus à l’Ouest, toujours dans le Montana. Elle a une formation de comptable, mais a toujours voulu avoir, comme dans son enfance, une maison où chaque lit a son quilt, où l’ambiance est simple et confortable. Alors comme plusieurs d’entre nous, elle est aussi marcheuse, jardinière et quilteuse !

Les modèles de Lindlee

Tous les modèles sont des variantes de Lone Stars, vous pouvez les voir sur son compte instagram et par ici. Celui-ci est le plus exceptionnel :

Big Sky Star Quilt, Lindlee de @plainsandpine. Big Sky est le surnom de l’État du Montana, là où on peut admirer pleinement l’immensité du ciel. Une merveille !

Quiltons une Lone Star avec Lindlee !

C’est parti depuis le 3 janvier, mais vous pouvez prendre le projet en route. Inscrivez-vous gratuitement ici.

Nous allons faire ce quilt ! 5 dollars de chaque vente de modèle sont transmis au College/lycée de la Réserve d’où elle vient, afin de faciliter des cours de patchwork pour continuer de transmettre l’art du Lone Star Quilt auprès des jeunes.

Faire ce quilt en suivant la cadence du groupe, c’est d’abord se familiariser avec la technique des étoiles à 8 branches. C’est aussi se donner des missions hebdomadaires sur 6 semaines, pour arriver au bout sans difficulté.

Je vais faire la plus petite version (120 cm de côté) avec des restes de tissus. J’ai quand même acheté un fond uni chez Alice (https://www.blossomquiltetcraft.fr/), un tissu uni très neutre. J’ai envie de retrouver l’esprit amérindien que j’aime tant, avec du beige, du rouille, du moutarde, du ciel et du marine…

Alice est sur le point de déménager, elle se rapproche de la mer et va s’installer du côté de Lorient ! Elle aussi a SA veste 😁

Alors me voilà embarquée dans ce projet, que j’espère faire vite et bien ! Si cela vous intéresse d’embarquer dans ce « quiltons ensemble » (chacun fait son quilt à la maison et on partage les photos de son avancement sur Instagram avec l’étiquette #patchworklonestarsal) allez sur Instagram et voyez le compte de @plainsandpine.

J’ai présélectionné mes bouts de tissus, pour une étoile très scrappy – choix à modifier ou enrichir !

A bientôt ! Katell

J‘ai recueilli la plupart des renseignements et photos sur le site de Lindlee : https://plainsandpine.com/

Dans la rigueur hivernale du Montana, trois versions du même modèle : les possibilités sont infinies!

Nous avons 10 ans 🍀 2e jeudi

Vos mots doux tout au long de la semaine nous ont fait chaud au cœur ! Oui cet anniversaire est une fête pour les quilteuses, vous et nous. Les gagnantes des lots de la semaine dernière sont dévoilés ici en Edit de fin d’article, elles ont été prévenues par mail 🍀 !

A défaut de voyager en vrai, installez-vous pour un dépaysement dans l’espace et le temps, avec notre rendez-vous du jeudi…

Pour cette 2e semaine, parlons héritage. Savez-vous que les tissus Neelam représentent l’origine de nos tissus imprimés ? Si les Celtes ont, les premiers semble-t-il, tissé des rayures et des carreaux en teignant les fils de couleurs différentes avant le tissage, ce sont les Indiens (d’Inde) qui ont inventé l’impression sur tissu. Le moyen le plus utilisé a été, pendant des siècles, l’impression des dessins sur tampon. Emilie nous fournit cette vidéo de 3 mn 30 qui montre le travail actuel des artisans qui ont sauvegardé ces gestes ancestraux.

Les Européens ont longtemps fait venir les tissus imprimés d’Inde par terre (la Route de la Soie) puis par mer (en contournant l’Afrique, il n’y avait pas encore le canal de Suez !), et ils ont commencé dès la Renaissance à copier ce savoir-faire, puis à le perfectionner sans cesse : la révolution industrielle a bien commencé par les innovations dans le monde textile !

Vous pouvez lire cet article qui retrace l’histoire des tissus provençaux, copiés directement des Indiennes.

Avez-vous remarqué que, depuis quelques années, on ne se plaint plus des tissus qui affadissent au soleil, aux couleurs qui dégorgent ? Il y a eu une révolution silencieuse : l’impression numérique. Du progrès, toujours. De plus, nos cotons sont devenus extrêmement lisses et presque soyeux. Encore des améliorations de traitement, de tissage. Nos tissus destinés au patchwork sont d’une qualité nettement améliorée. J’apprécie les tissus modernes que j’achète en ligne. Nous avons de parfaites fournisseuses sur internet !

Toutes les transformations pour faire un tissu ont un coût écologique immense, mais le pire est celui des tissus de basse qualité pour la mode bon marché, qu’on jette si vite… Privilégions toujours la qualité, pour conserver longtemps les vêtements, et réjouissons-nous que les tissus de patchwork soient d’aussi bonne qualité : nos ouvrages dureront longtemps !

Ces tissus Neelam sont teints artisanalement à la garance (plante), ils sont très beaux et à la fois très peu impactants sur l’environnement.

J’aime profiter des tissus modernes mais j’apprécie de retourner régulièrement à l’authenticité des tissus Neelam. Après avoir visionné la vidéo ci-dessus, j’en retire un respect accru pour tous ces artisans, et une certaine fierté d’utiliser leurs tissus. Regardez-en un attentivement : la fibre est légèrement irrégulière, comme dans les tissus anciens qu’on trouve dans les armoires de grands-mères ou les brocantes. Le filage est resté traditionnel. La fibre non traitée absorbe très bien l’eau (très agréable en vêtement d’été). Les couleurs sont relativement limitées, car elles sont issues de la nature : indigo, curcuma, garance, etc., comme les couleurs des quilts du XIXe siècle et d’avant, avant la révolution chimique des pigments. Ils s’associent harmonieusement, à l’infini. Ils sont bien fixés, ils ne bougent pas dans le temps. Utiliser ces tissus, c’est un retour aux origines qui m’émeut.

Les imprimés classiques Neelam sont si proches des tissus d’antan que vous pouvez sans crainte les mélanger avec des tissus de reproduction dans vos patchworks traditionnels ! Je les utilise aussi facilement dans mes quilts modernes. Pas de frontière.

Neelam ne se contente pas de commercialiser des motifs traditionnels : ils créent régulièrement des motifs qui enrichissent leur offre. La plupart sont devenus des best-sellers !

Comment sont imprimés ces dessins ? Toujours de manière artisanale, le dessin est d’abord gravé dans un tampon en teck, puis… quelques photos vous donnent une idée du travail !

Le tuto de la semaine : les Chemins de Traverse

Cette semaine, j’ai honoré ces tissus à ma manière avec un bloc très basique et classique – des carrés – n’est-ce pas la base du patchwork traditionnel comme du mouvement moderne ? Quant aux astuces techniques, je mets aujourd’hui le focus sur les planches de repassage.

La semaine dernière, je vous proposais de couper des rectangles et des carrés : chercher les tissus, les repasser, les couper, c’est ici la partie la plus longue ! Ensuite, la couture se fera à la chaîne (sans couper le fil), ce qui rend les assemblages très rapides.

A gauche, une corbeille de rectangles de 10 x 5 cm et des carrés de 9 cm. Au milieu, des restes réutilisables et à droite, des chutes destinées à la poubelle… ou pas. On verra !
J’ai eu la grande chance de recevoir d’Émilie des bandes de lisières, des fins de rouleau qu’elle met de côté et j’ai conçu ce modèle pour les utiliser. Les imperfections ne sauteront pas aux yeux à la fin, j’en suis sûre ! J’ai utilisé ces bandes au maximum, mélangées avec mes propres métrages de tissus Neelam.
Pour les carrés de 9 cm, j’ai plusieurs fois assemblé des morceaux. C’est un authentique top de récupération.

Voici un bloc à l’endroit :

Les rectangles servent à faire des four-patch, faites-en 2 identiques à chaque fois et positionnez-les pour avoir une diagonale claire. En complément, deux carrés foncés de 9 cm de côté complètent ce bloc. Le matelas gris est ma nouvelle trouvaille : un tapis en pure laine, parfaitement isolant ! Il reste à la gauche de ma machine à coudre, petit fer branché, tout au long de la couture à la chaîne des blocs, pour les repassages intermédiaires nécessaires.
En fin de journée, je fais une erreur de montage ! Il est temps d’arrêter…
J’ai fait 49 blocs, quelle joie de m’amuser avec ces imprimés ! Vient le moment de repasser les blocs par rangée sur une nappe à repasser. J’utilise ici ma centrale vapeur pour avoir les tissus bien plats.
C’est le moment de l’équerrage des blocs. Je remarque que la dimension qui convient est 15,5 cm de côté. J’utilise la plaque rotative, mais une petite plaque qu’on tourne sur elle-même suffit !
49 blocs plus tard…

Que donne ce top aux chutes de tissus Neelam ? Moi je le trouve très beau…

Les Chemins de Traverse, un top comme je l’imaginais, très riche visuellement et très gai ! Il mesure 1 mètre de côté et, promis, il sera quilté pour le présenter à Lacaze en juin prochain !

Tuto bonus 1 : Pas de chichis

Avec les mêmes découpes, on fait un 4-patch à l’aide de deux rectangles de 10 x 5 cm. Puis on coupe en diagonale deux carrés de 9 cm qu’on coudra autour du 4-patch qui devient le centre. Avant de couper en diagonale, je repasse bien les carrés et j’évite de déformer ; en effet, les tissus Neelam sont fins et souples ! Si vous souhaitez plus de rigidité, n’hésitez pas à utiliser une bombe d’amidon. Comme le modèle précédent, c’est addictif ! Et vous pouvez très bien mélanger tous vos tissus, surtout si vous maintenez une unité de gamme de couleurs, cela s’harmonisera avec naturel. Pas de chichis, on peut tout mélanger !

Tuto bonus 2 : le biscornu

Il est extrêmement célèbre chez les brodeuses, moins chez les quilteuses, mais puisqu’on est dans les 4-patch, voici un tout petit ouvrage à faire de nouveau avec les plus jeunes.

Deux 4-patch de même dimension sont nécessaires, toujours constitués de rectangles de 10 x 5 cm. Imaginez qu’on va les coudre endroit contre endroit, comme un coussin. Eh bien, on va décaler la couture d’un demi-côté, soit d’un carré et à chaque carré, on a un changement de direction (un angle) soit dessus, soit dessous ! Un peu inconfortable, mais on s’en remet. C’est plus facile à la main car il faut éviter de coudre dans les marges de couture.

Bien sûr, on laisse un espace de 2 segments pour retourner puis bourrer le biscornu. Tiens, mes rognures des 49 blocs ci-dessus vont judicieusement remplir ce petit ouvrage ! Rien, vraiment rien ne se perd… Puis deux jolis boutons anciens finissent de donner la forme… biscornue.

Mes astuces de repassage

Ma table pliante à repasser est vieille, toute cabossée. Elle est étroite et frustrante, jamais assez de place pour poser mes blocs en série. J’ai donc changé complètement de matériel, au lieu de la remplacer à l’identique.

Le carré de feutre de laine est très agréable, il restaure la chaleur et tout est parfaitement repassé à sec ! Je ne recommande pas d’utiliser la vapeur dessus, ou alors il faut ensuite le laisser sécher en profondeur. C’est un achat qui dure la vie d’une quilteuse, et j’aime ça.

A acheter Chez Emma ou ailleurs, c’est un achat que vous ne regretterez pas !

Pour le repassage « en grand », j’ai une nappe de 120 x60 cm (marque Brabantia) où j’utilise la vapeur, même sur une table en bois ! Je peux y aussi vaporiser mes petits péchés mignons (amidon ou aide au repassage en bombe), il se lave d’un coup d’éponge. La seule fois où je le protège, c’est quand je fais des Bee’s wraps : je n’oublie surtout pas le papier cuisson dans ce cas.

Des cadeaux, cette semaine encore !

Même procédure que la semaine dernière, c’est Émilie qui régale ! Rendez-vous sur son site pour jouer et gagner !

A la semaine prochaine, toujours avec Neelam !
Katell