Souvenirs inattendus

En farfouillant sur internet, je suis tombée une photo de moi que je ne connaissais pas, elle fait partie d’un dossier fait par la Banque Populaire Occitane… Je me fais un plaisir de vous transmettre ici les meilleures pages, celles sur le petit monde du patchwork ! C’est le résultat d’une interview d’un journaliste très sympathique lors du Salon des Loisirs Créatifs de Toulouse en 2017, mais je n’avais jamais vu le résultat… Au cours de notre longue conversation, je me souviens lui avoir donné le nom de Jacqueline Fischer qui défend si bien le statut de quilteuse, il a fait de tout cela un article vif et engagé :

Je suis très satisfaite de constater que je ne dirais plus la même chose aujourd’hui sur deux points. Depuis 2017, les quilteuses françaises se sont presque toutes affranchies des diktats de la première heure (« il FAUT assembler à la main et quilter avec les plus petits points possibles, sinon ce n’est pas du vrai patchwork » par exemple) et surtout, la joie de la créativité s’est largement répandue !

Cerise sur le gâteau, une interview de Sheila Frampton-Cooper, où j’avais joué le rôle d’interprète sur le vif.

Internet n’oublie rien, cette fois-ci pour le meilleur !

Sheila vivait alors en Provence, elle a depuis déménagé pour se rapprocher de sa famille, en Californie. Heureusement, grâce à internet, nos liens d’amitié ne sont pas rompus !

Souvenirs !…

Bonne journée et à bientôt pour rêver aux cieux étoilés…
Katell

5 commentaires sur « Souvenirs inattendus »

  1. Très intéressant!! Maintenant, tu dis que les patcheuses se sont débarrassés des diktats, mais je sais par une déléguée de France- patchwork qu’il s’agit d’une génération et que les jeunes ne sont pas nombreux à s’y mettre, à broder, à coudre, à assembler….’Il semblerait que notre pratique ait du mal à attirer et à se renouveler………Je ne sais pas; mais c’est dommage! Ne somes- nous pas attractives et accueillantes? Pour ma part, j’essaie de transmettre, cela semble marcher…….Bref, questions….

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    1. J’ai vu tant de quilteuses, ces dernières années, évoluer vers la créativité ! Elles connaissent le travail bien fait, et savent évoluer. Deux générations de quilteuses françaises, que j’aime tant rencontrer…

      Pour les plus jeunes, elles apprennent beaucoup avec les vidéos et ne fréquentent ni les clubs, ni les JA (ou bien trop rarement), mais elles aiment les stages, en ligne ou « en vrai » (pour éviter le terme « en présentiel »!).
      Mais si, nous sommes accueillantes, mais nos habitudes de vie sont différentes… Nous nous croisons un peu, beaucoup, chacune sur son chemin de découverte bien trop souvent.

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  2. Très touchée par cet article de presse! « On ne mélange pas les torchons avec les toiles de maîtres » résume tout à fait la situation mais avec Béatrice, nous avons réussi à mélanger et surtout à faire apprécier l’art textile autant que d’autres arts dits majeurs. N’est-ce pas?
    J’ai aussi été émue de revoir une photo de Sheila que j’ai rencontrée à Quilt en sud (en 2017 ou 18) un court moment, par hasard, sur une table de pique-nique. Malgré la barrière de la langue, nous avons réussi à échanger un peu et cette personne m’avait marquée (tout comme l’amie qui m’accompagnait) par sa douceur, sa sensibilité et son envie d’aller vers les autres en de communiquer. Je ne parle même pas de ses ouvrages extraordinaires!

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    1. Oui nous avons ressenti pleinement à Ménigoute combien les arts textiles peuvent autant émouvoir que les arts dits majeurs. Quelle expérience marquante !
      De même, Sheila laisse une empreinte auprès de chacun. Elle est magique ! Notre Béatrice est, elle aussi, un peu sorcière bien aimée…
      A bientôt mon amie !

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  3. Puisque cet article me cite avec mon accord , j’avais effectivement été contactée par l’auteur ,qui ensuite ne m’a pas envoyé le résultat Que je découvre. J’aurais aimé qu’à défaut de mes oeuvres (il y en a 450 sur mon site qui illustrent mes propos , une bagatelle et evidemment ma recherche personnelle n’a aucune espèce d’importance ) mais un lien vers mon site m’eût paru courtois. J’ignore s’il figure dans la suite éventuelle dudit article. L’article dont on s’est servi s’appelle « qui a peur du mot patchwork »,date de 2009 et m’avait été demandé pr le site arts-up aujourd’hui disparu. il a été fort utilisé et même parfois sans me citer, Il ne se réduit pas à quelques phrases et le lire en entier donnerait une idée plus complète de ce que je pense .(et fais!).

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